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Michel Polnareff

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BIOGRAPHIE ALBUM

Michel Polnareff est de retour mais l’évènement serait trop banal pour celui qui a inventé le concept de disparitions-réapparitions sur la scène médiatique musicale. Michel Polnareff est de retour à son meilleur.

Dans ce nouveau disque notre icône pop a tout donné, s’est remis en question, a puisé au plus profond. Enregistré entre la Californie, la France, Londres et l’Ecosse, ses nouvelles compositions ont une grâce devenue trop rare en ce début de millénaire. Des nouvelles chansons standards instantanés avec « Tu n’m’entends pas » et sa complainte d’un amour détruit, avec « Un temps pour elle » et son climat californien d’un matin ensoleillé au texte teinté de regrets finement ciselé par notre héros ou encore « Quand y’en a pour deux y’en a pour toi » entre country pop et clavier moog spatial. Les maux de Polnareff nous parlent au cœur et ses musiques se muent en une douce obsession, en mode repeat, portées par une voix prodigieuse qui n’a pas changé, tel un miracle.

Michel Polnareff a ô combien réussi l’album fantasmé par le public depuis des lustres, celui de la réconciliation entre toutes ses influences. Plus que des chansons, ce sont des symphonies de poche à l’architecture semblable aux châteaux de cartes, où rien ne doit bouger, où la fulgurance, la fragilité et l’élégance ne font qu’une. Cet album est à la fois concis, épuré et retrouve l’essence même de la musique de son créateur. Toujours là où on ne l’attend pas, il nous offre ses plus beaux morceaux instrumentaux car le Monsieur connaît ses classiques et sait monter en gammes : son toucher de piano appartient à notre histoire, celle que nous partageons ensemble depuis 1966. Comment ne pas être sidéré par la brillance évidente de « Villa Cassiopée », où pop et impressionnisme se télescopent ? Qui ne versera pas une larme face à la mélancolique beauté de « Un moment » ? Et puis il y a « Solstice », le chef d’œuvre incontestable, Polnareffien en diable. A écouter, à ressentir, à vivre.

Si Michel Polnareff a ouvert son âme pour son public en composant un album ultime au sens du merveilleux, c’est que son génie tutoie les cimes. Encore.

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